La toux du chenil, une maladie très contagieuse

Comme son nom l’indique, cette maladie peut généralement toucher les chenils, les élevages et les refuges pour chiens. Il s’agit d’une maladie provoquant des difficultés respiratoires et elle se transmet de différentes manières (voie aérienne, sécrétion nasale et salive). Un vaccin est nécessaire pour prévenir la toux du chenil. Les chiens qui en sont atteints doivent suivre un traitement à base d’antibiotiques qui peut durer plusieurs semaines. Notez que le virus peut également rester très longtemps dans l’organisme de l’animal et transformer la pathologie en forme chronique.

La maladie de carré

Tout comme la toux du chenil, la maladie de carré peut se présenter sous une forme légère ou aigüe. Cette maladie peut notamment provoquer de la toux, du vomissement, de la conjonctivite, des troubles neurologiques, etc. Elle peut se transmettre par voie aérienne ou à l’aide des sécrétions corporelles (salives, urines, etc.). Même avec une vaccination, la guérison face à cette pathologie dépendra surtout des capacités immunitaires du chien. Un canidé de petite taille ou un chien âgé risque de ce fait d’avoir des difficultés en raison de son système immunitaire moins performant.

La parvovirose

C’est une maladie provoquée par le CPV ou parvovirus canin. Il peut causer une importante diarrhée hémorragique éventuellement accompagnée de vomissement, de fièvre et de déshydratation. Les selles des chiens malades peuvent facilement transmettre la parvovirose. Cette pathologie peut par ailleurs toucher les globules blancs, ce qui réduit encore plus la défense immunitaire de l’animal face aux autres maladies. La vie des chiots et des chiens de petite taille peut ainsi être mise en danger par la parvovirose. Pour lutter contre cette dernière, seule la vaccination est efficace.

Le diabète de type 1

Autrement appelé diabète juvénile ou encore diabète insulinodépendant, cette pathologie est généralement diagnostiquée chez les jeunes et les enfants. De ce fait, le diabète juvénile peut toucher des personnes de tout âge. En effet, le corps d’une personne atteinte du diabète type 1 ne produit quasiment pas d’insuline. Voilà pourquoi, ces personnes doivent toujours s’injecter de l’insuline.

Ce dernier représente 5 à 15% des cas de diabètes dans le monde. Les symptômes de ce diabète apparaissent de manière brusque comme un manque d’énergie, de la fatigue, une soif excessive, un besoin fréquent d’uriner, une faim constante, etc.

Le diabète de type 2

Le diabète de type 2 représente en réalité près de 90% des cas de diabètes. Ce type de pathologie est dû à une résistance à l’insuline ou a une diminution de sa production.

D’autre part, les diabétiques atteints de cette affection peuvent présenter les mêmes symptômes que les personnes atteintes de diabète juvénile. Pourtant, il se pourrait aussi que certains symptômes ne soient pas identifiés. Il se pourrait qu’une personne atteinte de diabète de type 2 ne se doute même pas qu’elle en est atteinte.

Généralement, cette maladie atteint les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie pourrait être causée par une alimentation déséquilibrée, un surpoids, une insuffisance d’activité physique mais aussi il se peut qu’elle soit héréditaire c’est-à-dire transmise dans le gène.

Le diabète gestationnel

Le diabète pourrait en fait apparaître chez les femmes enceintes n’ayant jamais eu de diabète auparavant. Pendant la grossesse, l’action de l’insuline pourrait être perturbée par les hormones de grossesses.

Ce type de diabète pourrait présenter un réel risque pour la mère et l’enfant parce qu’il augmente le risque pour les deux de développer un diabète de type 2 par la suite.

Un traitement médical en cas de pancréatite chronique

Le traitement médical de la pancréatite chronique comprend la prise en charge des crises douloureuses. Si les poussées sont assez faibles, du paracétamol ou de l’aspirine peuvent faire l’affaire. Mais si la crise est un peu plus sévère, il faut certainement des antalgiques plus forts, à prendre avec parcimonie toutefois. Si ces médicaments ne donnent rien et n’atténuent pas les douleurs, votre médecin peut recourir à l’infiltration des nerfs autour du pancréas via un produit anesthésiant. Le traitement médical peut englober également le traitement de l’insuffisance pancréatique en associant le traitement du diabète au traitement de la diarrhée graisseuse.

Traitements endoscopique ou radiologique

Lorsqu’il est question de traitement endoscopique, on parle d’introduction d’une sonde dirigée vers le pancréas. La sonde est équipée d’une caméra et d’autres instruments fins qui vont soulager les douleurs et vont drainer le suc pancréatique. En cas de kystes pancréatiques, grâce à l’endoscopie, il est possible de les percer et si le canal qui draine la bile est comprimé, par l’endoscopie, on peut mettre en place une prothèse dans le canal pour régler ce problème. Si le traitement endoscopique ne fonctionne pas, un traitement radiologique est entrepris par lequel on draine les kystes à travers la peau via un cathéter de drainage. En dernier recours, la chirurgie est envisagée pour enlever une partie du pancréas.

L’adoption d’une mauvaise posture

Rester dans une position assise avec une tête penchée et le dos rond est l’une des premières causes d’un mal de dos. Les gestes inadéquats comme se pencher brusquement ou se lever en sollicitant votre colonne peuvent également amener un problème dos. En sollicitant votre colonne d’une façon inhabituelle etrépétitive, vous poussez votre colonne à devenir douloureux. Vous pouvez ressentir soit une douleur intense soit un blocage du bas de dos.
Faire des efforts non adaptés à votre physionomie ou faire un mouvement brusque est les causes premières d’une lombalgie. Le fait de porter une lourde charge est déconseillé pour éviter ce type de maladie.

Une mauvaise hygiène de vie

Ce ne sont pas uniquement les mauvaises postures et les mouvements brusques qui peuvent provoquer un problème au dos. Une mauvaise hygiène de vie comme une alimentation non équilibrée et un manque d’hydratation. L’eau est la composition principale des disques intervertébraux. En cas de manque, ils n’assurent pas correctement son rôle.
Les graisses et les sucres ne peuvent pas contrer lesinflammations, ce sont les nutriments principaux d’une mauvaise alimentation. Manger équilibré signifie prendre des aliments riches en oméga 3 et vitamine D. Ils sont nécessaires pour renforcerle capital osseux dont la colonne vertébrale. Ces nutriments permettent d’ailleurs de diminuer la douleur. Dormir sur un lit non adapté et subir un surmenage et un stress engendre également un mal de dos.
Une personne qui ne fait pas une activité physique est également sujette à un problème de dos, car les muscles de dos deviennent faibles. De ce fait, ils n’assurent pas très bien leur travail de soutien.

Quels sont les causes de la constipation ?

Les causes de la constipation sont multiples mais le plus souvent, elle est due à l’hygiène de vie. On parle d’un alitement prolongé, un manque d’exercice, des boissons en trop faible quantité, une alimentation déséquilibrée (pauvre en fibres mais très riche en graisse), une mastication insuffisante pendant les repas et le fait de se maintenir d’aller aux toilettes quand l’envie se fait sentir.
Mais certaines constipations sont également dues au développement d’une maladie inflammatoire ou d’une tumeur digestive qui freine le passage des aliments dans le tube digestif.
Il faut noter qu’en adoptant un mode de vie plus sain, en buvant abondamment, et en consommant des aliments équilibrés vous pourrez facilement vous débarrasser de ce problème.

Comment apparait la constipation ?

Voici les symptômes de la constipation :
– Des selles petites et dures qui sont difficiles, voire douloureuses à évacuer
– Une douleur au bas-ventre
– Une perte d’appétit
– Une expulsion incomplète des selles
– Un excès de gaz
– Des ballonnements, des crampes et des gonflements du ventre

Comment traiter la constipation ?

Etre constipé n’est pas une fatalité, alors, le premier traitement consiste à adopter des mesures hygiéno-diététiques très simples : aliment riche en fibres, boire suffisamment, pratiquer de l’exercice physique régulièrement, etc. Puis, en cas d’échec des règles hygiéno-diététiques, il faut privilégier les laxatifs. Pour cela demandez conseil au pharmacien. Sinon, vous pourriez également soigner la constipation avec des compléments alimentaires. Demandez conseil à votre pharmacien qui vous orientera dans le choix d’un complément alimentaire adapté. Ce dernier prendra en compte les plantes présentes dans la composition ainsi que les mesures hygiéno-diététiques préconisées pour lutter contre la constipation.

Cause de la LMC

La principale cause de la leucémie myéloïde chronique est la production excessive de globules blancs immatures dans le sang et par la moelle épinière. Ces dernières s’amassent dans la moelle osseuse et déséquilibre le bon fonctionnement de cette dernière qui est la principale source de toutes les cellules sanguines. Cette maladie est associée à une anomalie chromosomique, c’est-à-dire un échange d’un morceau de matériel génétique entre deux chromosomes distinctes et résultent d’un gène anormal. Cette anomalie entraine une prolifération des cellules de la moelle qui produit un excédent de globules blancs ou leucocytes dans l’organisme.

Evolution de la maladie

La leucémie myéloïde chronique se présente en trois phases. La première est la phase chronique. Durant cette phase, les leucocytes et les plaquettes tiennent encore leurs rôles. Les globules blancs en excès dans le sang ne donnent pas encore de symptômes graves. S’il n’y a pas de traitement, une durée de vie de 3 à 5 ans est évaluée. Ensuite, en second lieu, on a la phase accélérée. Le nombre de cellules immatures ainsi que les globules blancs augmentent considérablement dans le sang durant cette phase. Les symptômes deviennent de plus en plus visibles et la maladie monte sur un stade plus difficile à contrôler. Sans traitement, l’espérance de vie diminue de 6 à 9 mois. La dernière phase est la phase de transformation aiguë. Lors de cette phase, un tiers de la moelle et des cellules sanguines deviennent blastes. À ce stade, la maladie est dans une position avancée où les cellules cancéreuses forment des tumeurs sur les ganglions lymphatiques et sur les os. Lors de ce stade critique, l’espérance de vie est de 3 à 6 mois.

Prise en charge de la leucémie myéloïde chronique

L’objectif des traitements de la leucémie myéloïde chronique vise à une complète cessation des symptômes et afin que les signes de la maladie disparaissent totalement. La méthode utilisée était avant les années 2000, la greffe de la moelle et les thérapies ciblées. Des solutions qui ont révolutionnées la prise en charge. En 2001, les thérapies ciblées ont connu une vraie révolution. En effet, un traitement ciblé qui a pour objectif de bloquer la dérégulation d’une enzyme affectant les molécules responsables de la maladie qu’on a appelé Imatinib, a vu le jour. Cette pratique a progressivement remplacé la greffe de la moelle osseuse qui n’est plus que réservée aux patients ayant échoués à l’Imatinib.

Quel traitement adopter ?

Dans la lutte contre la leucémie myéloïde chronique, la Glivec est le traitement d’appoint par excellence, jugée la plus efficace actuellement dans le monde médical. C’est le médicament le plus proposé par les médecins traitants de nos jours. Testé sur 5 ans par une étude suivie, ce médicament possède une efficacité durable et plus facile d’administration (par voie orale). Une augmentation du taux de survie est même enregistrée, allant jusqu’à 90%. Toutefois, on a aussi observé que certains patients ne répondent pas au traitement ou présentent une forte résistance au Glivec quand ils atteignent le stade de la leucémie myéloïde chronique aiguë.

Les signes caractéristiques de la maladie d’Alzheimer

Vous avez peut-être entendu parler de malades frappés par l’Alzheimer qui souffrent d’un problème de mémoire qui s’aggrave et d’un problème de désorientation aussi bien dans l’espace que dans le temps. Mais souvent, il y a aussi des symptômes qualifiés de cognitifs et qui se traduisent par de brusques sautes d’humeur, d’un problème de coordination des mouvements et des gestes ou d’un changement de comportement. Parfois, les malades souffrent d’aphasie, c’est-à-dire un trouble du langage, ils ont du mal à trouver leurs mots ou ne parviennent plus à exprimer quoi que ce soit, ou encore, ils perdent toute faculté de compréhension.

Des symptômes graves

Lorsqu’une personne est atteinte de la maladie d’Alzheimer, son attention et sa concentration se perdent peu à peu. Son raisonnement et son jugement sont aussi affectés, de même que ses capacités à anticiper les choses et les événements, sa capacité à prendre des initiatives ou à planifier des tâches. Donc, si une personne autour de vous commence petit à petit à manifester ces signes, emmenez-la le plus vite possible chez le médecin et si la maladie d’Alzheimer est confirmée, des soins adaptés peuvent être mis en place dans les meilleurs délais. Agir vite est vital car cela permet de préserver le plus longtemps possible la qualité de vie du malade.

Les principales causes de l’incontinence urinaire

Si un problème de fuite urinaire se présente chez un individu, cela signifie qu’un malfonctionnement réside dans son système urinaire. Cela peut être dû à des problèmes au niveau du sphincter, mais aussi à cause d’une obstruction quelconque. Le lien entre la vessie et le cerveau peut être également endommagé, ce qui provoque une mauvaise réponse du système urinaire.
Chez l’homme, le principal facteur est l’âge avancé. Les muscles peuvent se relâcher, car ils s’affaiblissent, ou les muqueuses de l’urètre se déshydratent petit à petit. On peut également citer une hypertrophie de la prostate comme cause des fuites urinaires. Dans ce cas-là, le passage de l’urine est compressé et un regorgement peut survenir.

Les formes et traitements de l’incontinence urinaire

Si l’incontinence se présente sous une forme par impétuosité, il est alors important de bien entrainer sa vessie à fonctionner normalement. En d’autres termes, il faudra apprendre à la vessie à se retenir et se détendre lorsque l’envie d’uriner apparaît. Le but étant d’élargir la vessie et de mieux la contrôler.
Lorsque l’incontinence urinaire se présente sous forme d’un égouttement désagréable après la miction, il faudra procéder à quelques examens pour déterminer s’il y a présence d’obstruction ou non. Ensuite, le traitement de fera à base d’exercices des muscles pelviens et d’exercices pour la vessie. Après avoir vidé sa vessie, l’homme doit également procéder à une pression manuelle pour éviter un éventuel égouttement.

S’arrêter de fumer

D’après les statistiques, chaque année, on enregistre plus de 600 000 décès dus au cancer dans le monde. La cause principale de la maladie est le tabagisme. En effet, dans la grande majorité des cas, les cancers du poumon sont dus par le tabac. En parallèle, la probabilité d’être touché par les cancers du pancréas, de la vessie, du rein, de l’estomac, du col de l’utérus est énorme. Ceci n’est pas étonnant que le tabac soit si nocif pour la santé, puisqu’il contient à peu près 4 800 produits chimiques avec une soixantaine déclarée comme cancérigènes.

Réduire la consommation d’alcool

Parmi les principales causes du cancer, on retrouve l’alcool en deuxième position. L’alcool est responsable des cancers de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage… Il tue des milliers de personnes chaque année. Le risque de contracter le cancer ne dépend pas du type d’alcool, mais de la dose ingérée. Le risque augmente à mesure que la quantité d’alcool consommée croît.

Manger de manière équilibrée

Il existe certains aliments qui peuvent réduire le risque du cancer. C’est le cas des fruits et légumes. Non seulement ils ont un effet bénéfique sur le surpoids, mais aussi sur la teneur de fibres dans l’organisme. À l’inverse, la surconsommation de viandes rouges et de charcuteries peut devenir un facteur risque des cancers. Aussi, le mode de cuisson peut aussi être des facteurs risques.

Faire du sport régulièrement

Il est reconnu que la pratique du sport diminue le risque de cancers et même de beaucoup de maladies chroniques. Toutefois, le sport est avant tout à titre préventif. Même si la personne contracte le cancer, les exercices augmentent la probabilité de survie et diminuent le risque de récidive.

– La polyarthrite chronique juvénile

La polyarthrite chronique juvénile, également appelée maladie de Still, touche principalement les fillettes de 2 à 7 ans. Elle présente peu de symptômes articulaires, mais surtout des signes généraux identiques aux maladies de système.

– La polyarthrite rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde ou PR est l’un des habitus des rhumatismes chroniques affectant les femmes plus que les hommes. Le médecin le diagnostique à partir des symptômes cliniques et c’est une pathologie qui se doit d’être traiter d’urgence.

– Les symptômes et traitements de la maladie

Qu’il s’agisse de polyarthrite chronique juvénile ou de polyarthrite rhumatoïde, les articulations lésées gonflent, rougissent, sont douloureuses et chaudes. Elles deviennent raides et sont limitées par rapport à certains mouvements comme tourner le poignet d’une porte. L’écriture devient également difficile. La fatigue, la fièvre et l’amaigrissement les signalent aussi. Dans les phases avancées, les poumons et le cœur peuvent en être affectés, le patient pourrait ressentir une forte sécheresse dans la bouche et sur les yeux. Pour les plus jeunes, des éruptions cutanées et une hypertrophie de la rate, du foie et des ganglions sont aussi possibles.

Il est possible de prendre en charge la polyarthrite chronique juvénile et la polyarthrite rhumatoïde par voie médicamenteuse, la physiothérapie et la rééducation ainsi que la chirurgie. Par ailleurs, bien équilibrer l’alimentation et faire de l’exercice ont toujours porté ses fruits sur la santé.

En ce qui concerne les traitements de fond, les antirhumatismaux comme le méthotréxate et la léflunomide agissent directement sur la maladie. Pour l’option Bio, les agents anti-TNF alpha feront l’affaire. Cependant, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les inhibiteurs de la cyclooxygénase-2 et les corticostéroïdes entrent en scène quand il s’agit de soulager les douleurs. La physiothérapie agit au maximum pour garder la souplesse des articulations enflammées et par la même occasion prévenir la déformation articulaire ou l’arrêt de la croissance chez les enfants.

Préférer les fruits et légumes (crus comme cuits) aux viandes et les charcuteries aide à préserver la bonne santé, mais aussi à prévenir presque toutes les maladies. Et le sport est recommandé, mais avec modération ou selon l’état de santé de chaque sujet.