Particularités du thé oolong

Toutes les couleurs de thé (dont le thé bleu) se trouvent sur une seule plante : le théier aussi appelé Camellia Sinensis en Latin. C’est la cueillette, le travail de récolte et la durée d’oxydation qui les différencient. Le oolong est un thé placé à mi-chemin entre la couleur noire et verte.

Il existe différentes catégories de thé oolong classifiées selon la plante de culture, l’altitude, l’oxydation et le pays d’origine. Ainsi, vous pouvez trouver :

• Du thé oolong très peu oxydé : il est préparé suivant la méthode traditionnelle chinoise et dont la récolte se fait au printemps ou en automne.
• Du oolong peu oxydé : il est récolté en printemps et en hiver à Taiwan.
• Du thé fortement oxydé : il est préparé suivant la méthode et le savoir-faire taiwanais.

Le thé oolong est très bénéfique pour la santé. Il est riche en antioxydant puissant qui aide à préserver la jeunesse des cellules. Il prévient certaines maladies cardiovasculaires et le diabète.

Comment cultiver ce thé ?

Il est parfaitement possible de le cultiver chez vous dans votre jardin ou dans un petit pot. Il existe plusieurs façons de le faire soit :

• Avec une graine : c’est un processus long qui demande beaucoup de travail et dont le taux de réussite est assez faible. Avant de planter les graines, vous devez les faire germer et les entretenir en les trempant. Cette méthode est plus conseillée pour les personnes qui ont du temps pour cultiver les graines
• A partir de semis : certains cultivateurs transplantent des semis de thé racines nues d’une zone de plantation à une autre. Vous pouvez aussi acheter le plant germé de cette plante dans une pépinière et la planter tout de suite dans votre jardin pour accélérer le processus.
• A partir de boutures : c’est le moyen le plus rapide de cultiver cette plante et de produire du thé récoltable. Il consiste à multiplier les boutures en les plongeant dans une hormone d’enracinement et en les replantant dans votre jardin.

Quid de la récolte et du traitement

Pour le récolter, il est conseillé de choisir les plus grandes feuilles. Vous devez ensuite les laisser au soleil pendant une demi-heure. Ensuite, vous devez les rentrer à l’intérieur afin de les permettre de s’adapter à la température ambiante. Elles doivent y rester pendant 6 ou 10 heures. Entre temps, pensez à secouer ou à remuer les feuilles pour faciliter leur oxydation. Traditionnellement, les artisans chinois utilisent des claies de bambou pour les étaler afin de diminuer leur humidité. Ensuite, ils les mettent à l’ombre.

Une fois que vous sentez que l’arôme est présent, vous pouvez faire chauffer les feuilles dans une poêle pendant quelques minutes afin d’arrêter définitivement le processus d’oxydation.

Si l’on parle de protéines en poudre, la whey vient naturéllement en tête puisqu’elle la plus prisée parmi ces compléments. Mais pourquoi la whey protéine plait-elle autant les sportifs et quel est le meilleur moment pour la prendre ? Pour répondre à ces questions, penchons-nous sur les caractéristiques de la whey !

Pourquoi la whey est-elle si populaire ?

La whey est souvent la protéine de prédilection de nombreux sportifs en raison de sa digestibilité et son assimilation rapide. Contrairement à d’autres protéines comme la caséine, la whey est rapidement décomposée et acheminée vers les muscles, ce qui est idéal pour la récupération post-entraînement.

Cette rapidité d’absorption signifie qu’elle peut fournir aux muscles les acides aminés essentiels dont ils ont besoin peu de temps. Ce qui favorise par la suite la réparation et le renforcement des tissus musculaires.

Un autre avantage distinct de la whey par rapport à d’autres protéines en poudre est son profil d’acides aminés. Elle contient tous les acides aminés essentiels, en particulier une concentration élevée de leucine, reconnue pour son rôle clé dans la construction musculaire. Cette richesse en acides aminés essentiels fait de la whey une source protéique complète, optimale pour soutenir la croissance et la réparation musculaire.

La whey a également bénéficié d’une vaste publicité et d’un marketing efficace, la positionnant comme la protéine de prédilection pour les athlètes et les adeptes de fitness. Par rapport aux gainers et à la caséine, elle est souvent perçue comme plus polyvalente, pouvant être utilisée dans diverses recettes, shakes ou même incorporée dans des aliments. De plus, son goût neutre et ses nombreuses versions aromatisées ont contribuée à son gain de popularité.

Une prise après l’entrainement : la meilleure alternative

Après une séance d’entraînement, les muscles sont soumis à des contraintes et des micro-lésions qui nécessitent des protéines pour leur réparation. Etant une protéine à digestion rapide, la whey fournit rapidement aux muscles les acides aminés essentiels dont ils ont besoin. Cette rapidité d’assimilation est cruciale pendant la « fenêtre anabolique », une période post-entraînement où le corps est particulièrement réceptif aux nutriments. En consommant de la whey immédiatement après l’exercice, on maximise la synthèse des protéines musculaires, favorisant ainsi une récupération optimale.

L’une des propriétés bénéfiques de la whey est sa capacité à réduire les douleurs musculaires après un effort physique. Ces douleurs, souvent ressenties comme des courbatures, sont dues aux micro-déchirures musculaires causées par l’entraînement. La leucine, un acide aminé abondant dans la whey, joue un rôle primordial dans le processus de réparation musculaire. En prenant de la whey en post-entraînement, on alimente le corps avec cet acide aminé essentiel, aidant ainsi à réduire l’intensité et la durée des douleurs musculaires.

Les exercices intenses, surtout lorsqu’ils sont pratiqués régulièrement, peuvent mettre à rude épreuve le système immunitaire. La whey contient des immunoglobulines, des protéines qui soutiennent le système immunitaire en neutralisant les agents pathogènes. En plus de ses avantages en matière de récupération musculaire, consommer de la whey après l’entraînement contribue également à renforcer le système immunitaire, aidant ainsi l’organisme à combattre les infections et à rester en bonne santé, même en période d’entraînement intensif.

Prendre de la whey avant l’entrainement : une mauvaise idée ?

De nombreux sportifs, qu’ils soient professionnels ou amateurs, sont confrontés à des emplois du temps chargés. Entre les obligations professionnelles, familiales et sociales, trouver le bon moment pour manger peut devenir un défi. Dans ce contexte, prendre de la whey avant l’entraînement s’avère être une solution pratique. Cela permet de s’assurer que le corps reçoit les protéines dont il a besoin sans avoir à attendre la fin de la séance. Cette approche assure que les muscles ont accès à une source de protéines, prévenant ainsi la dégradation musculaire pendant l’exercice.

Consommer de la whey avant l’entraînement offre certains avantages. Premièrement, le complément fournit de l’énergie et peut améliorer les performances, en particulier pendant les entraînements de haute intensité.

De plus, une prise avant l’entraînement peut également réduire la sensation de faim, évitant ainsi les distractions pendant l’entraînement. Enfin, la présence d’acides aminés dans la circulation sanguine pendant l’effort peut prévenir la dégradation musculaire et faciliter la récupération immédiatement après l’exercice.

Bien que prendre de la whey avant l’entraînement présente des avantages, la consommation post-entraînement est bien plus conseillée. Cette période, souvent désignée comme la « fenêtre anabolique« , est un moment où le corps est particulièrement apte à utiliser les protéines pour la réparation et la croissance musculaire.

La prise de whey après l’exercice optimise donc la synthèse protéique, soutenant une récupération plus efficace. Néanmoins, il est important de se rappeler que chaque individu est unique et que l’essentiel est de trouver une routine nutritionnelle adaptée à ses besoins et contraintes.

Conclusion

Notez que la question du meilleur moment de la prise de whey existe aussi pour la créatine. Si consommer de la whey après l’entraînement est couramment recommandé pour maximiser la récupération musculaire, il est essentiel de reconnaître que chaque individu a des routines et des contraintes qui lui sont propres.

Dans les situations où le temps est limité, opter pour une prise de whey avant l’entraînement peut tout à fait être envisagé sans pour autant compromettre significativement les bénéfices. La clé réside dans l’adaptabilité et l’écoute de ses propres besoins.

La supplémentation, au-delà de ses avantages physiologiques, doit demeurer une source de bien-être et de plaisir. Il est contre-productif de la transformer en une source de contrainte ou de stress. Après tout, la santé globale englobe autant le bien-être physique que mental, et il est primordial de trouver un équilibre qui fonctionne pour soi.

Nettoyer les plaies et les préserver des microbes

Le plus urgent est de nettoyer les plaies afin d’éliminer les matières étrangères qui s’y sont incrustées et dans lesquelles peuvent se loger des germes microbiens susceptibles de provoquer une inflammation. Il y a beaucoup de critères à prendre en considération dans le choix du produit. D’ailleurs, par nettoyage, on comprendra également désinfection. Cela consiste donc à l’élimination des microbes éventuellement présents dans la blessure. Un simple lavage soigneux au savon doux est alors indiqué pour une plaie sans gravité. Cela permet d’éliminer la majorité des bactéries et a même été préconisé pour les morsures de chiens. Il faut toutefois prendre garde à bien rincer la partie lésée si un autre antiseptique est envisagé car certains de ces produits peuvent être inactivés par la présence du savon. Il vaut mieux aussi protéger la plaie par un pansement, c’est-à-dire l’envelopper pour empêcher les poussières et les autres salissures d’y accéder. En effet, il peut constituer une barrière antiseptique mais doit néanmoins être changé régulièrement. Un pansement serré aide également à arrêter le saignement par compression.

Un large choix de produits antiseptiques

Différents composés chimiques sont utilisés comme antiseptiques. Le plus usuel est certainement l’alcool éthylique que les plus jeunes détestent parce que c’est un produit qui pique. Il y a aussi le permanganate de potassium qui se conserve facilement, étant un produit solide. On a également utilisé l‘eau oxygénée, l’hypochlorite de sodium (eau de javel) et la teinture d’iode, qui sont des produits qui ont des propriétés bactéricides. Actuellement, le chlorhexidine et l’hexamidine font partie des antiseptiques les plus couramment utilisés. Il faut toutefois éviter l’association de plusieurs antiseptiques pour éviter les effets neutralisants réciproques. Il est enfin recommandé d’acheter les antiseptiques en petits conditionnements car ils peuvent paradoxalement être contaminés.

Les appareils auditifs contours d’oreilles

Dans la prothèse auditive, la technologie de l’appareil auditif se trouve à l’intérieur de l’appareil. L’extérieur se présente sous plusieurs formes selon le choix de l’utilisateur, mais l’intérieur est pareil. Les contours d’oreilles sont conseillés aux individus qui souffrent des pertes auditives profondes et sévères, plus précisément au-delà de 70 % de perte. La taille de cet appareil dépend de la puissance du modèle. L’avantage de cet appareil, c’est qu’il possède une autonomie de puissance. En revanche, certains modèles sont volumineux et gênants.

Les appareils auditifs micro contour d’oreilles

Le micro contour se situe derrière le pavillon de l’oreille, un fil très mince passe devant le pavillon et se termine dans le conduit auditif afin de transmettre le son. Le micro contour dispose de deux formes, le RIC et la CO. L’écouteur de ce dernier se trouve à la sortie du boîtier et le tube fin conduit le son dans l’oreille, tandis que dans le RIC, l’écouteur se place dans le conduit, il est maintenu par une canule en silicone ou en micro embout. Ce type d’appareil auditif est le plus courant pour les légères pertes. Il possède une autonomie de longue durée et une belle esthétique.

Les appareils auditifs intra auriculaires

L’appareil se pose directement dans le conduit auditif, il n’y a rien derrière l’oreille, le boîtier et le tube n’existent pas. Les appareils auditifs intra auriculaires permettent d’avoir une prise de son idéale pour le téléphone. Cet appareil peut être invisible, il n’est pas gênant, même si on met des lunettes. En changeant de vêtements, il n’est pas nécessaire de l’enlever.

Le stéthoscope

C’est l’outil le plus indispensable pour tous apprentis médecins. Il existe deux types de stéthoscopes, le stéthoscope à tubulure simple et le stéthoscope à tubulure double. Le stéthoscope constitue le premier élément de diagnostic pour tous médecins. Et il est très utile pour les étudiants en médecine durant les visites médicales quotidiennes et les analyses pour les spécialistes.

L’otoscope

Cet appareil est essentiel à partir de la quatrième année durant les stages hospitaliers. L’otoscope est utilisé pour effectuer l’examen par visualisation du conduit auditif externe ou du tympan des patientes grâces à sa lampe à LED. Il existe plusieurs types d’otoscopes, mais ils sont tous basés sur un même modèle. Un otoscope est composé d’un manche fin, d’une tête munie d’un système éclairant et d’une lentille grossissante.

L’oxymètre

L’oxymètre est très utile durant les gardes de nuit. Il permet de mesurer la quantité d’oxygène dans le sang. Et sers également à mesurer le pouls des patients plus rapidement. Avec les mesures prises par l’oxymètre, il est plus facile de surveiller l’état des patients souffrant de troubles respiratoires et des troubles de rythmes cardiaques (bradycardie et tachycardie).

Le tensiomètre

Le tensiomètre est un appareil qui permet de mesurer la tension artérielle. Il existe trois types de tensiomètres, les tensiomètres à poignets, les tensiomètres à bras et les tensiomètres connectés. Généralement, les professionnels de santé ont recours à un tensiomètre manuel, basé sur la méthode auscultatoire, qui requiert l’utilisation d’un stéthoscope et d’une poire de gonflable.

Le marteau réflexe

Le marteau réflexe est un instrument utilisé pour tester les réflexes ostéotendineux au niveau des coudes et des genoux. Il peut également servir à tester la sensibilité cutanée des patients, dans ce cas il est doté de pointe ou intégré d’une aiguille ou d’un pinceau. Lors des examens psychomoteurs et en pédiatrie, le marteau à réflexes permet de constater des neuropathologies et des anomalies du système nerveux.

La toux du chenil, une maladie très contagieuse

Comme son nom l’indique, cette maladie peut généralement toucher les chenils, les élevages et les refuges pour chiens. Il s’agit d’une maladie provoquant des difficultés respiratoires et elle se transmet de différentes manières (voie aérienne, sécrétion nasale et salive). Un vaccin est nécessaire pour prévenir la toux du chenil. Les chiens qui en sont atteints doivent suivre un traitement à base d’antibiotiques qui peut durer plusieurs semaines. Notez que le virus peut également rester très longtemps dans l’organisme de l’animal et transformer la pathologie en forme chronique.

La maladie de carré

Tout comme la toux du chenil, la maladie de carré peut se présenter sous une forme légère ou aigüe. Cette maladie peut notamment provoquer de la toux, du vomissement, de la conjonctivite, des troubles neurologiques, etc. Elle peut se transmettre par voie aérienne ou à l’aide des sécrétions corporelles (salives, urines, etc.). Même avec une vaccination, la guérison face à cette pathologie dépendra surtout des capacités immunitaires du chien. Un canidé de petite taille ou un chien âgé risque de ce fait d’avoir des difficultés en raison de son système immunitaire moins performant.

La parvovirose

C’est une maladie provoquée par le CPV ou parvovirus canin. Il peut causer une importante diarrhée hémorragique éventuellement accompagnée de vomissement, de fièvre et de déshydratation. Les selles des chiens malades peuvent facilement transmettre la parvovirose. Cette pathologie peut par ailleurs toucher les globules blancs, ce qui réduit encore plus la défense immunitaire de l’animal face aux autres maladies. La vie des chiots et des chiens de petite taille peut ainsi être mise en danger par la parvovirose. Pour lutter contre cette dernière, seule la vaccination est efficace.

Qu’est-ce qu’un complément alimentaire ?

Un complément alimentaire est un concentré de nutriments, soit des vitamines et/ou des sels minéraux. Dans la plupart des cas, les compléments alimentaires sont prescrits dans le but de pallier les carences d’un régime alimentaire. Ainsi, un complément alimentaire peut être un concentré d’un ou de plusieurs nutriments à la fois. Il peut être spécifique pour certaines pathologies ou périodes de la vie d’une personne.

Mais il est important de savoir qu’un complément alimentaire ne se substitue pas à une alimentation équilibrée ou variée. Ainsi, vous ne pouvez pas arrêter de manger sous prétexte que vous prenez des compléments alimentaires. Comme leur nom l’indique, ils viennent compléter une alimentation et non la remplacer.

Il est important de respecter les posologies indiquées, car elles peuvent changer d’une personne à une autre. Cela permet d’éviter les risques de surdosage. Et autre petit conseil, vous ne devez pas prendre des compléments alimentaires par vous-même, même s’ils ne sont que des compléments, l’auto médication est toujours déconseillée.

Les raisons de consommer des compléments alimentaires

Les compléments alimentaires peuvent se présenter sous plusieurs formes comme les gélules, les comprimés, les pilules, les pastilles, les sachets en poudre, les ampoules de liquide ou encore des flacons en compte-goutte. Bref, sur le marché vous pouvez en trouver de toutes les sortes. Il suffit juste de bien les choisir et d’acheter la forme qui vous convient le plus et que vous pouvez facilement avaler.

Vous pouvez trouver des compléments alimentaires composés de vitamines comme la vitamine A, la vitamine B1, la vitamine B2, etc. et des compléments alimentaires à base de minéraux comme le calcium, le fer, le magnésium, etc.

L’Union européenne a créé une liste des vitamines et sels minéraux autorisés dans les compléments alimentaires. Vous pouvez vous procurer cette liste sur le Net. Il faut savoir également que les compléments alimentaires n’ont pas vocation à guérir ou à traiter quelconque maladie. D’ailleurs, mentionner cette information dans la publicité ou l’étiquetage du produit est fortement déconseillé.

Les raisons de consommer les compléments alimentaires sont nombreuses. Même si, dans la plupart des cas, les compléments alimentaires sont consommés pour pallier des problèmes de carences dans l’alimentation, dans certains cas, ils peuvent être pris pour des raisons plus spécifiques. Oui, le complément alimentaire peut répondre à un besoin spécifique.

Actuellement sur le marché, vous pouvez trouver des compléments anti-âge permettant de freiner l’apparition des premiers signes du vieillissement. Vous pouvez aussi trouver des compléments pour les sportifs qui leur permettent d’avoir une alimentation équilibrée et variée indispensable pour la pratique régulière de sport. Les compléments alimentaires permettent au sportif de maintenir un bon niveau d’énergie et surtout de pouvoir récupérer efficacement après un grand effort physique.

Attention, les compléments alimentaires peuvent avoir des effets secondaires notamment en cas de surdosage. Vous pouvez par exemple remarquer une détérioration de votre état de santé ou une intoxication due à un apport trop important de certains nutriments. Raison pour laquelle il est important de bien choisir vos compléments alimentaires et de toujours demander conseil à un professionnel de santé. Pour éviter les effets indésirables, il est préférable d’opter pour des compléments alimentaires naturels à base de plantes. Ce sont des compléments alimentaires fabriqués en Belgique à l’aide de plantes de très bonne qualité. Mizu et Kasai est un laboratoire de compléments alimentaires naturels qui vous propose divers produits correspondant à vos besoins. Ce sont des produits sains qui ne contiennent pas d’additifs. Ce laboratoire est également engagé pour la protection de l’environnement et pour chaque produit que vous allez acheter, un arbre sera planté.

Les impacts d’une exposition à court terme

La gravité dépend du degré et de la durée de l’exposition. Pour une exposition à court terme, c’est-à-dire de quelques heures, il est possible de n’avoir qu’une irritation oculaire ou au niveau des voies respiratoires, mais pour une période temporaire.
Pour une exposition aiguë à court terme, c’est-à-dire pour une petite période, mais à un degré élevé, il est probable de développer des troubles respiratoires graves, comme l’asthme ou la bronchite. Une exposition aiguë à court terme peut conduire à une hospitalisation, et peut même causer la mort.

Les impacts d’une exposition à long terme

Même à un degré assez faible, l’impact d’une exposition à long terme peut être désastreux. Le développement d’un cancer est le danger principal. Puis, il y a aussi un risque sur la fécondité des personnes exposées, surtout sur la femme. Dans ce cas, il est possible d’avoir une mutation génétique, une malformation ou une difformité quelconque, que ce soit pour la mère ou pour l’enfant.

Les impacts indirects de la pollution sur la santé

Pour ce cas, il s’agit surtout de la pollution de l’eau, ou l’effet des déchets toxiques qui infiltrent la terre. Ce qui fait que pour les produits alimentaires, que ce soit les produits agricoles ou la viande, le risque d’infection est très élevé. Dans le cas d’une présence de radioactivité, il y a aussi des risques de mutation génétique, de cancer, et des problèmes de fécondité, pour homme ou femme.

Quelques points sur la niacinamide

Avant tout, sachez que la niacinamide est de la vitamine B3. Également connue sous le nom de nicotinamide, elle intervient dans de nombreuses fonctions vitales du corps (fonctionnement cérébral, digestion, etc.).

Elle agit également sur la barrière cutanée. Ainsi, elle hydrate la peau et permet de la protéger contre les irritations et les signes du vieillissement.

Les effets bénéfiques de la niacinamide sur la peau

Si on entre en détail sur les bienfaits de la niacinamide, on découvre que :

Elle participe à renforcer la barrière cutanée

En fait, la nicotinamide protège la peau des facteurs de stress environnementaux, comme la pollution et les rayons solaires, en favorisant la production de céramides et de protéines dans la barrière cutanée. Ces deux substances ont pour rôle d’y retenir l’humidité.

Cela dit, même si vous utilisez un produit pour le visage contenant de la niacinamide, il est toujours nécessaire de protéger votre peau du soleil avec un écran solaire.

Elle a un effet anti-âge

Ici, l’application régulière d’un produit contenant de la niacinamide favorise la production de kératine dans la barrière cutanée. Cette protéine maintient la peau ferme et jeune. La niacinamide aide alors à protéger la peau contre les signes du vieillissement, comme les taches pigmentaires liées à la vieillesse, les ridules et les rides.

Elle réduit les taches d’hyperpigmentation

On peut dire que la niacinamide est un produit miracle, puisqu’elle permet de réduire les taches d’hyperpigmentation qui sont tellement difficiles à faire disparaître. Dans ce cas, il est essentiel d’utiliser une concentration élevée de nicotinamide. Vous verrez qu’au bout de trois mois, les taches s’éclairciront et votre visage deviendra éclatant.

D’autre part, la nicotinamide agit comme un anti-inflammatoire. Il peut donc atténuer les rougeurs des peaux qui s’irritent suite à l’application de produits agressifs ou à une exposition prolongée au soleil. Là aussi, il est important de mettre au-dessus de la niacinamide une protection contre les rayons UV.

Elle aide à lutter contre l’acné

Vous avez sûrement constaté que les peaux grasses sont les plus sujettes à l’acné. Pour cause, le sébum, produit par les glandes sébacées au niveau du visage, peut s’y accumuler et favorise l’obstruction des pores et la prolifération de certaines bactéries comme le Cutibacterium acnes et l’Acnes vulgaris. C’est là qu’entre en jeu la niacinamide. Elle régule l’activité des glandes sébacées. Elle influence donc la production de sébum, ce qui fait d’elle un produit parfait contre l’acné et les dermatites séborrhéiques.

Les effets de la niacinamide sur la peau grasse à tendance acnéique

On a vu précédemment que la niacinamide intervient dans la production de sébum. Cette capacité lui permet de limiter et de minimiser l’apparition des boutons d’acné. Les produits qui en contiennent sont donc très recommandés aux peaux grasses à tendance acnéique. Mais comment les utiliser ?

La niacinamide peut servir de complément des traitements contre les boutons. Grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et apaisantes, elle améliore la texture de la peau et soulage les irritations qui y apparaissent. Il est alors parfois utile d’utiliser en premier une substance ou une crème agressive qui a pour objectif d’endommager la barrière cutanée lors d’un traitement de l’acné. Ensuite, on applique la niacinamide qui va la restaurer et donner à la peau une apparence saine.

Compte tenu de ces faits, on peut dire que la niacinamide n’est pas un antiacnéique en tant que tel. Ainsi, si vous avez des problèmes d’acné persistante, vous devez consulter votre dermatologue qui vous proposera des soins adaptés.

L’utilisation de la niacinamide

La niacinamide convient aussi aux peaux sèches et normales. Comme on l’a vu un peu plus haut, elle peut servir d’ingrédient composant une crème, un sérum, une huile ou un produit exfoliant. Le plus souvent, pour obtenir ce dernier, la nicotinamide est combinée avec l’acide salicylique ou l’acide glycolique. Ce type de formule favorise l’élimination des peaux mortes et libère les pores. Il réduit ainsi les imperfections et prévient même leur apparition.

Grâce à ses différentes propriétés, il est également possible d’utiliser la niacinamide à tout âge. Le produit qui en contient peut servir de soin du jour. Si vous sélectionnez une gamme de produits avec de la niacinamide, il est conseillé d’appliquer celui à consistance fine en premier. Par exemple, vous pouvez d’abord nettoyer votre peau avec l’eau micellaire ou un nettoyant pour visage. Puis, appliquez la crème du jour qui sert de traitement contre l’acné ou les rougeurs ou à hydrater la peau. Enfin, mettez par-dessus tout un écran solaire ayant au moins un indice de protection SPF 25.

Ce qu’il faut savoir après s’être fait tatouer

Il faut environ deux à trois semaines pour un tatouage au niveau des couches extérieures de la peau pour se cicatriser. Après ce laps de temps, vous pouvez reprendre le cours de votre vie normalement. Cependant, le processus de cicatrisation complète dans toutes les couches de la peau demande beaucoup plus de temps notamment 4 à 6 mois. Aussi, la cicatrisation d’un tatouage repose sur plusieurs critères et il est impossible de connaître réellement le temps de cicatrisation d’un tatouage. Si vous avez un petit tatouage fait avec de l’encre noire, vous pouvez espérer une cicatrisation plus rapide contrairement à un tatouage beaucoup plus détaillé et avec des couleurs. Le type de peau, le mode de vie et aussi la condition physique sont également des critères déterminants dans la durée de la cicatrisation du tatouage.

En principe, après le tatouage, le tatoueur enveloppe la partie de votre corps tatouée, soit avec un film adhésif soit avec un produit de « seconde peau ». A ce stade, vous pouvez encore ressentir une sensation de brûlure et votre peau peut présenter quelques rougeurs. Vous pouvez retirer le film plastique au bout de quelques heures, mais il est impératif de suivre à la lettre les conseils de votre tatoueur. A ce stade, vous devez éviter d’exposer votre tatouage à la lumière directe du soleil et surtout le garder propre. Durant cette phase de cicatrisation, il est fortement interdit de faire du sauna ou du sport. En effet, la sueur et l’irritation peuvent entraîner une inflammation.

Le commencement du processus de cicatrisation du tatouage

Votre tatouage aura séché le deuxième jour. Il commencera à faire une croûte, mais restera encore sensible et peut faire mal si vous le touchez. Il faut donc éviter de le toucher car cela risque également de contaminer votre peau. C’est durant cette phase que les couches supérieures de votre peau guérissent et se ferment. Cela n’empêche pas que vous devez garder votre tatouage propre. Vous devez faire en sorte que toutes les conditions de cicatrisation optimales de votre peau sont réunies. Ainsi, vous devez manger sainement, vous hydrater régulièrement et éviter le plus possible de prendre de l’alcool. Vous devez aussi protéger votre tatouage. Pour éviter d’infecter votre peau, il est conseillé de ne pas faire de sport ou de la natation.

Quand la rougeur sur le tatouage peut-elle disparaître ?

Durant la première semaine, vous pouvez constater la formation de croûtes sur votre tatouage. C’est à ce stade que la rougeur commence à disparaître. Si la rougeur ne disparaît pas, il y a un risque que votre tatouage soit enflammé. Dans ce cas, vous devez contacter votre tatoueur, il saura vous conseiller sur ce que vous devez faire. Au cours de la deuxième semaine, vous constaterez que la croûte disparaît petit à petit.